Domaine Didier Dagueneau - Vin de France - Les Jardins de Babylone - Demi-Sec - Blanc - 2019

Vin :

Le Vin de France Les Jardins de Babylone Demi-Sec Blanc 2019 s'octroie des parfums d’Orient, de dattes, d’épices chaudes et de fruits secs, avc des notes de poire et de fruits juteux, le tout pourvu d'une tension phénoménale et savoureuse, et d’un croquant sapide, avec une très belle onctuosité et un toucher de bouche satiné. Les 72,5 g/l de sucres résiduels s’oublient et se fondent dans une trame d’évidence, à la gourmandise affolante. Noté 94/100 RVF et 93/100 Parker

Vinification :

Vendanges manuelles. Pressurage pneumatique lent, fermentation et élevage sous bois durant 12 mois, des barriques de chêne en forme de cigares, période de masse de 6 à 8 mois avant la mise en bouteille puis vieillissement en bouteille pendant 2 ans en moyenne avant la commercialisation. Sucre résiduel : 72.50 g/l (Vin Demi-Sec).

Température :

À servir entre 10 et 12°C dans un verre grand format.

Accord mets et vin :

Foie gras en terrine, foie gras poêlé, volaille fermière rôtie, poissons crémés, viandes blanches crémées, tous les mets truffés, fromage de brebis Ossau-Iraty, carpaccio de mangue, tarte aux abricots et amandes effilées, cake aux agrumes, flan pâtissier à la vanille, panna cotta au fruit de la passion.

Garde :

Dès aujourd'hui et jusqu'en 2030.

Icône de Jurançon, « Les Jardins de Babylone » est une référence absolue. Ce micro-domaine de 3,2 hectares déniché par Didier Dagueneau il y a 20 ans, installé en terrasses sur les coteaux d’Aubertin, est réputé pour la vivacité particulière de ses vins ; Louis-Benjamin Dagueneau s’y investit sans relâche pour porter au plus haut une production confidentielle.

Fruit d’exception, fraîcheur scintillante, acidité merveilleuse et persistance vertigineuse : les vins sont tout simplement inoubliables, peu alcoolisés, d’une grande finesse et d’une précision aromatique exceptionnelles, fruits de vendanges manuelles par tries successives et de fermentations sous bois neuf dans différents contenants, dans des fûts de 320 litres (cigares) ou de 600 litres (tonnes).

La maîtrise est ici totale et Louis-Benjamin Dagueneau perpétue avec tact l’esprit artisanal d’excellence initié autrefois par son père. Un succès que nous avions relaté dans notre magazine Racines.

Quasiment inaccessibles à la vente pour les particuliers, réservées aux grandes tables, les cuvées s’écoulent sous le manteau, et seuls quelques heureux élus peuvent les approcher.